Vidal Jean-Pierre. (1991). Thésée, chaque matin : l’image labyrinthique, le parcours du commettant et le corps de la bête. Protée, 19, (2), p. 49-63.
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Résumé
L'espace du quotidien est ici perçu comme étant à la fois délimité et envahi par le croisement de deux autres espaces, adverses et complices : le mythe et le sport. Explorant le labyrinthe qu'ensemble ils forment, on entend montrer qu'il n'est de signe que du corps, comme le voulait la première acception historique du terme «sémiologie» et que, si le style c'est l'homme, la sémiose c'est l'hominisation sans cesse reconduite.
Type de document: | Article publié dans une revue avec comité d'évaluation |
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Volume: | 19 |
Numéro: | 2 |
Pages: | p. 49-63 |
Version évaluée par les pairs: | Oui |
Date: | 1991 |
Sujets: | Arts et lettres |
Département, module, service et unité de recherche: | Départements et modules > Département des arts, des lettres et du langage |
Mots-clés: | Quotidien, espace, mythe, sport, labyrinthe, sémiologie, sémiose. |
Déposé le: | 14 févr. 2013 03:12 |
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Dernière modification: | 14 févr. 2013 03:12 |
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