Villeneuve Rodrigue. (1999). L'acteur en poseur de signes. Protée, 27, (1), p. 17-20.
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Résumé
Après avoir rapporté la description habituelle de l’entreprise wilsonnienne comme la production d’un objet lisse ayant la prétention d’échapper au sens, l’auteur montre que cette position, théoriquement, n’est pas tenable et que, pratiquement, elle est combattue par l’exceptionnelle référentialité de La Mort de Molière, de même que par son organisation en récit. Il fait l’hypothèse qu’elle l’est aussi par une autre singularité de l’oeuvre : l’interprétation de Molière par Wilson lui-même.
Type de document: | Article publié dans une revue avec comité d'évaluation |
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Volume: | 27 |
Numéro: | 1 |
Pages: | p. 17-20 |
Version évaluée par les pairs: | Oui |
Date: | 1999 |
Sujets: | Arts et lettres |
Département, module, service et unité de recherche: | Départements et modules > Département des arts, des lettres et du langage |
Mots-clés: | Molière, Wilson, production, sens, référentialité, mort, oeuvre. |
Déposé le: | 20 févr. 2013 01:32 |
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Dernière modification: | 20 févr. 2013 01:32 |
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