Azzi S., Olivares M., Zayani T., Bouzouane Abdenour, Bouchard Bruno, Giroux Sylvain, Pigot Hélène, Le Dorze G., Pinard S., Bier Nathalie, Carbonneau M., Levasseur M., Couture M., Bottari Carolina, Swaine B., Therriault P.-Y., Bouchard Kévin, Le Morellec Fanny, De Loor P., Thépaut A. et Le Pévédic B.. (2015). Reconnaissance d’activités des victimes de traumatisme crânien cérébral (TCC) dans un milieu d’hébergement domotisé. Dans : 1er congrès québécois de recherche en adaptation-réadaptation, INTER-REPAR , 21-22 mai 2015, Boucherville, Québec.
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Résumé
Dans le cadre de notre projet, le processus de reconnaissance d’activités appelé sous-système supervision, s’inscrit dans un système plus complexe appelé orthèse cognitive et vise à reconnaitre les AVQ des victimes de traumatisme crânien cérébral (TTC) et nous focalisons précisément sur l’aspect reconnaissance des erreurs. Cette technologie d’assistance cognitive qui aspire à améliorer l’indépendance à la préparation de repas pour des personnes avec un TCC grave est composée de deux autres sous-systèmes appelés assistance et communication. Elle est conçue et réalisée par une équipe interdisciplinaire (informaticiens, ergothérapeutes, ergonome et orthophoniste) et sera implantée chez trois résidents pour évaluer son efficacité et la capacité des résidents à comprendre ses assistances.
Méthodes: Chaque logement est équipé de plusieurs capteurs et envoient leurs données en continu. Ces données sont reçues par le sous-système supervision qui élabore son raisonnement en utilisant principalement le plan hiérarchique de la recette de cuisine que le résident aura à faire ainsi que d’autres éléments à savoir le facteur temporel, le facteur spatial, les données communiquées par les deux autres sous-systèmes composant l’orthèse cognitive, le profil du résident, etc...En l’occurrence, le système supervision reconnait l’activité ainsi que les erreurs commises par le résident lors de sa réalisation. L’apprentissage des erreurs se fait au fur et à mesure de leurs survenances constituant ainsi une base d’apprentissage qui servira pour la reconnaissance des erreurs. Dès lors que l’apprentissage devient stable, le système supervision bascule automatiquement vers une reconnaissance d’activités utilisant cette technique de fouille de données appelé arbre de décision.
Résultats: Les activités, les erreurs et la position du patient reconnus sont envoyés en continu par le sous-système supervision aux autres sous-systèmes sous forme de messages.
Conclusion: La fouille de données est utilisée dans notre travail pour la reconnaissance des erreurs et cette dernière est nécessaire pour pouvoir assister.
Type de document: | Matériel de conférence (Non spécifié) |
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Date: | 2015 |
Sujets: | Sciences naturelles et génie > Sciences mathématiques > Informatique Sciences de la santé |
Département, module, service et unité de recherche: | Départements et modules > Département d'informatique et de mathématique |
Liens connexes: | |
Mots-clés: | Traumatismes craniocérébraux, résidences intelligentes, déficiences cognitives, assistance culinaire |
Déposé le: | 15 févr. 2021 19:50 |
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Dernière modification: | 15 févr. 2021 19:50 |
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