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Effets de l’entraînement par intervalles à haute intensité sur le profil de risque cardiométabolique de femmes présentant de l’obésité abdominale

Martel Bruno. (2020). Effets de l’entraînement par intervalles à haute intensité sur le profil de risque cardiométabolique de femmes présentant de l’obésité abdominale. Mémoire de maîtrise, Université du Québec à Chicoutimi.

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Résumé

L’obésité abdominale est associée à différents problèmes de santé tels qu’une augmentation du risque de diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires. L’activité physique est un élément clé dans la prise en charge de l’obésité. En effet, elle permet de diminuer le risque cardiométabolique. Peu d’études se sont toutefois intéressées à déterminer la meilleure modalité d’entraînement spécifiquement chez les femmes adultes qui présentent une obésité abdominale. Objectifs : Comparer l’impact de deux modalités d’entraînements cardiovasculaires (entraînement continu d’intensité modérée (MICT) et entraînement par intervalles à haute intensité (HIIT)) qui procurent la même dépense énergétique sur le profil de risque cardiométabolique de femmes caractérisées par la présence d’obésité abdominale. Méthodes : Vingt femmes avec obésité abdominale ont été randomisées en deux groupes. Ainsi, 10 femmes (41,8 ± 8,9 ans) ont pris part au groupe MICT et 10 femmes (37,8 ± 5,7 ans), au groupe HIIT. Elles devaient s’entraîner 3 fois par semaine durant 12 semaines et les entraînements n’étaient pas supervisés. Les données physiques et métaboliques ont été recueillies au début et à la fin du programme. Un test-t de Student pour données appariées a été réalisé afin de comparer la moyenne des données au temps 1 et au temps 2 pour chacun des groupes. Les changements entre les deux groupes ont été comparés à l’aide d’un test-t de Student pour données non appariées. Les données recueillies sont des données préliminaires, car l’étude est toujours en cours. Résultats : L’intervention MICT et HIIT n’a entraîné aucune amélioration significative de la VO2max. Aucune différence significative n’a été constatée suite à l’intervention dans les facteurs de risque cardiométaboliques, et ce, à la fois pour le groupe MICT et le groupe HIIT. Finalement, il n’y a aucune différence significative entre les deux groupes concernant les changements, et ce, pour tous les paramètres étudiés. Conclusions : Nos données préliminaires démontrent que le MICT et le HIIT n’ont provoqué aucun changement significatif, et ce, à la fois au niveau de la condition physique ou du profil de risque cardiométabolique.

Type de document:Thèse ou mémoire de l'UQAC (Mémoire de maîtrise)
Date:2020
Lieu de publication:Chicoutimi
Programme d'étude:Maîtrise en sciences cliniques et biomédicales
Nombre de pages:81
ISBN:Non spécifié
Sujets:Sciences de la santé > Sciences de l'activité physique et réadaptation > Kinésiologie
Sciences de la santé > Sciences médicales > Physiologie
Département, module, service et unité de recherche:Départements et modules > Département des sciences de la santé > Programmes d'études de cycles supérieurs en sciences cliniques et biomédicales
Directeur(s), Co-directeur(s) et responsable(s):Blackburn, Patricia
Mots-clés:entraînement en continu, entraînement par intervalles, kinésiologie, obésité abdominale, obésité viscérale, risque cardiométabolique
Déposé le:09 févr. 2021 08:42
Dernière modification:15 févr. 2021 21:42
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