Savard Dany, Barnes Sarah-Jane et Meisel Thomas. (2010). Comparison between nickel‐sulfur fire assay Te co‐precipitation and isotope dilution with high‐pressure asher acid digestion for the determination of platinum‐group elements, rhenium and Gold. Geostandards and Geoanalytical Research, 34, (3), p. 281-291.
PDF
Administrateurs seulement 808kB |
URL officielle: http://dx.doi.org/doi:10.1111/j.1751-908X.2010.000...
Résumé
The accurate determination of platinum-group elements (PGE), rhenium and gold is important in both fundamental research and ore deposit studies. Questions have been raised by some authors as to whether the nickel-sulfur fire assay technique (NiS-FA) efficiently collects all the PGE. On the other hand, most isotope dilution (ID) techniques can only treat small test portion masses (2 g was used for high-pressure asher digestion; HPA) and this makes them more vulnerable to nugget effects. We determined PGE concentrations in ten reference materials with the aim of comparing the performance characteristics of the two methods. Both methods determine Ru, Pd, Os, Ir and Pt and we found that there were no significant systematic differences in the recovery. The advantages of NiS-FA were that: (a) it is capable of determining Rh and Au; (b) the relatively large test portion mass (15 g) reduces the nugget effect and (c) it is faster and less expensive than HPA-ID. The advantages of HPA-ID were that: (a) it determined Re and (b) it had low level blanks, lower detection limits and hence better precision in low-level homogeneous samples. Each technique had advantages and limitations; they should be considered as complementary rather than competing techniques.
L’analyse quantitative des éléments du groupe du platine (ÉGP), du rhénium et de l’or est importante pour la recherche fondamentale et la prospection. Certains doutes existent concernant l’efficacité de la pyro-analyse par nickel-soufre (PA-NiS) pour quantifier les ÉGP. D’un autre côté, la plupart des techniques d’analyse par dilution isotopique (DI) ne peuvent qu’analyser de petites masses d’échantillon (2 g pour la digestion haute pression; DHP-DI), les rendant vulnérable à l’effet de pépite. Nous avons quantifié les ÉGP dans dix matériaux de référence pour comparer les performances de chaque méthode. Chaque méthode peut quantifier le ruthénium, palladium, osmium, iridium et le platine. Les résultats ne montrent pas de différences significatives. Les avantages de la PA-NiS sont : (a) sa capacité de déterminer l’or et le rhodium, (b) la masse d’échantillon plus élevée (15 g) réduisant « l’effet de pépite » et (c) sa rapidité et son coût moins élevé. Les avantages de la DHP-ID sont : (a) capacité de déterminer le rhénium et (b) blancs plus bas, limites de détection plus basses donc plus de précision pour l’analyse en basses teneurs des matériaux géologiques homogènes. Chaque technique a des avantages et des limites et devraient être considérées comme complémentaires plutôt que compétitives.
Type de document: | Article publié dans une revue avec comité d'évaluation |
---|---|
ISSN: | 1751-908X |
Volume: | 34 |
Numéro: | 3 |
Pages: | p. 281-291 |
Version évaluée par les pairs: | Oui |
Date: | 2010 |
Sujets: | Sciences naturelles et génie > Sciences naturelles > Sciences de la terre (géologie, géographie) |
Département, module, service et unité de recherche: | Départements et modules > Département des sciences appliquées > Unité d'enseignement en sciences de la Terre |
Mots-clés: | platinum-group elements, nickel-sulfur fire assay, high-pressure asher, isotope dilution analysis, ICP-MS, éléments du groupe du platine, pyro-analyse par nickel-soufre, digestion haute pression, analyse par dilution isotopique, ICP-MS |
Déposé le: | 10 juin 2016 12:56 |
---|---|
Dernière modification: | 09 déc. 2016 16:12 |
Éditer le document (administrateurs uniquement)